mercredi 10 août 2011
dimanche 22 mai 2011
A la une : Nouvelles lois sur la sécurité routière (ou rentière)
PARIS (NOVOPress) : A quelques heures d’intervalle, la Droite populaire et le Bloc identitaire ont manifesté, hier, leur très vive opposition aux mesures annoncées par le gouvernement et défendues par Nicolas Sarkozy pour lutter contre l’« insécurité routière ». Les 35 députés UMP membres du collectif La Droite populaire sont allés jusqu’à menacer d’en « tirer les conclusions politiques » si le gouvernement ne fait pas machine arrière sur au moins deux points qu’ils jugent « non négociables » : le retrait, engagé, des panneaux annonçant la présence de radars fixes et « la décision discriminatoire d’imposer aux motards de repasser un examen après cinq ans d’interruption de conduite ».
« On en a marre de ces gages donnés à la gauche, aux écolos et aux bien-pensants de service. Nous avons été élus pour mener une politique de droite. Or, depuis trop longtemps, toutes les mesures vont à l’encontre de notre vision de la société. Ces mesures sur la sécurité routière, c’est la goutte d’eau qui fait déborder le vase. On infantilise les Français, on essaie en permanence de les faire passer pour de dangereux criminels », a précisé à l’AFP Philippe Meunier, député du Rhône et membre de ce collectif emmené par le député des Alpes-Maritimes Lionnel Luca et le secrétaire d’Etat aux Transports Thierry Mariani.
Dans un communiqué intitulé « Sécurité routière : halte au racket ! », le Bloc identitaire dénonce une série de mesures prises « surtout par intérêt à l’égard de la manne financière qui s’ouvre à l’Etat [et] vont dans le sens d’une criminalisation toujours plus forte du citoyen, qui se sent davantage traqué par l’Etat que la racaille ». « Il y a désormais une distinction claire qui est faite, poursuit la formation politique présidée par Fabrice Robert : d’un côté, le citoyen , censé “travailler plus pour gagner plus“ (mais sans permis, ça risque d’être difficile) et surtout ne pas protester quand il se fait verbaliser ou quand il est victime d’un excès de zèle policier ; de l’autre, la racaille, qui peut faire son trafic et ses agressions en toute impunité puisqu’il ne faut pas « faire de vagues. »
Les Identitaires, qui ont lancé un candidat, Arnaud Gouillon, dans la quête des parrainages nécessaires pour se présenter à la présidentielle de 2012, appellent « à se joindre à l’opération de blocage des routes de France » qui sera organisée le jeudi 2 juin par l’Association française des fournisseurs et utilisateurs de technologies d’aide à la conduite (Afftac) pour dénoncer l’interdiction des avertisseurs de radars, et à rejoindre « les comités d’automobilistes en colère qui se créent sur tout le territoire ».
De leur côté, les députés de La Droite populaire doivent être reçus mardi prochain 24 mai à 20 heures par le ministre de l’Intérieur, Claude Guéant. Ils auront rencontré au préalable Nicolas Sarkozy en fin d’après-midi dans le cadre d’un entretien prévu de longue date.
[cc] Novopress.info, 2011, Dépêches libres de copie et diffusion sous réserve de mention de la source d’origine
[http://fr.novopress.info]
Vendredi 20/02/2011
Les motards en colère face à l’accentuation de la répression routière. AUDIO – EXCLUSIF
Nous avons déjà donné des indications ici sur cette accentuation de la répression routière.
Rappelons quelques-unes des mesures prises par le comité interministériel :
- Interdiction des alertes GPS et des avertisseurs communautaires de type iCoyote.
- Le taux supérieur à 0,8 g/l d’alcool sera sanctionné par le retrait de huit points, au lieu de six.
- Téléphone portable au volant : 3 points au lieu de 2.
- L’excès de vitesse supérieur à 50 km/h devient un délit dès la première infraction : 1500 euros d’amende, 6 points en moins, trois mois de prison, 3750€ d’amende et confiscation obligatoire du véhicule !
Pour commencer notre enquête sur la contestation qui gronde, nous avons interviewé Marc Bertrand, chargé de mission sécurité routière au sein de la Fédération Française des Motards en Colère (FFMC). Cette association crée en 1980 a assez souvent obtenu des résultats dans ses revendications.
[cc] Novopress.info, 2011, Dépêches libres de copie et diffusion sous réserve de mention de la source d’origine
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Le Bloc Identitaire nous communique :
Sécurité Routière : Stop au racket !
- l’excès de vitesse supérieur à 50 km/h devient un délit dès la première infraction : 1500 euros d’amende, 6 points en moins, trois mois de prison, 3750€ d’amende et confiscation obligatoire du véhicule !
- Interdiction des alertes GPS et des avertisseurs communautaires de type iCoyote (très efficace).
- Les panneaux indiquant la présence de radars fixe vont être supprimés et les cartes des appareils ne seront plus rendues publiques.
- Le taux supérieur à 0,8 g/l d’alcool sera sanctionné par le retrait de huit points, au lieu de six.
- Téléphone portable au volant : 3 points au lieu de 2.
Ces mesures, prises sous la pression notamment des associations de défense des victimes de la route, mais surtout par intérêt eu égard de la manne financière qui s'ouvre à l'Etat, vont dans le sens d'une criminalisation toujours plus forte du citoyen, qui se sent davantage traqué par l’Etat que la racaille.
Qu'il est courageux d’infliger des amendes, de retirer les permis, à des automobilistes ou à des motards qui ont le malheur de rouler légèrement au dessus de la vitesse autorisée, ou de rentrer d'un mariage en ayant consommé deux unités et demi d'alcool au lieu d'une !
Pendant ce temps, le trafic de drogue dans les cités perdure, les agressions contre les personnes explosent, la délinquance, après les villes , envahit désormais les campagnes . Même les syndicats de police s'émeuvent de devoir faire de la répression acharnée face aux automobilistes au moment même où ils reçoivent des consignes venues des hautes sphères de l'Etat pour ne pas contrôler les scooters sans casques ou les conduites sans permis dans les cités.
Il y a désormais une distinction claire qui est faite :
D'un côté, le citoyen , censé « travailler plus pour gagner plus » ( mais sans permis, ça risque d'être difficile) et surtout ne pas protester quand il se fait verbaliser ou quand il est victime d'un excès de zèle policier.
De l'autre, la racaille, qui peut faire son trafic et ses agressions en toute impunité puisqu'il ne faut pas « faire de vagues » .
Pour le gouvernement, le Français, et notamment le « petit blanc » est devenu l'ennemi intérieur.
Le Bloc Identitaire condamne fermement ces décisions. Il prend acte aussi des mouvements de contestation qui naissent, venant notamment de la Fédération française des motards en colère ou encore de l'AFFTAC (l'association française des fournisseurs et utilisateurs d'aide à la conduite).
C'est ainsi que nous appelons l'ensemble de nos adhérents et sympathisants à se joindre à l'opération de blocage des routes de France menées par l'AFFTAC le Jeudi 2 Juin (plus d'informations prochainement sur le site Internet www.afftac.fr).
Nous incitons également nos sympathisants et adhérents à rejoindre les comités d'automobilistes en colère qui se créent sur tout le territoire.
Nous appelons l'ensemble des élus politiques désireux de mettre fin aux atteintes répétées à la liberté individuelle à nous soutenir dans ce vaste mouvement de contestation, qui représente le combat du peuple contre des élites méprisantes.
PS : Voir l'interview de Marc Bertrand, chargé de mission sécurité routière au sein de la Fédération Française des Motards en Colère (FFMC) sur Novopress.
: Permanence : 09 75 41 63 22 (de 09h00 à 20h00)
: Service Communication : 06 78 79 31 81
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vendredi 20 mai 2011
Le Bloc identitaire en pleine progression
Il s’est félicité du développement des implantations locales rendu évident par la participation de 80 cadres au conseil fédéral du mois d’avril et par l’ouverture de plusieurs nouvelles maisons identitaires.
Le Bureau exécutif a donc décidé d’amplifier ce mouvement naturel par une campagne d’adhésion systématique et une sensibilisation des militants à la création d’adhésions. Des outils pratiques et des informations en ce sens seront bientôt communiqués. Des modèles d’actions diversifiées seront mis à disposition des cadres locaux et sectoriels.
De nouvelles équipes seront mises en place d’ici début juin afin de pouvoir passer le nombre des 100 parrainages d’ici le début de l’été. A neuf mois de la ligne d’arrivée, tout est encore possible.
Bloc Identitaire
BP 13, 06301 NICE cedex 04
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lundi 16 mai 2011
Vent de liberté sur Lyon
Suite à l'annulation par le préfet de la marche des cochons, les jeunes identitaires lyonnais de "Rebeyne!" avaient déposé une seconde manifestation pour la liberté d'expression. Manifestation cette fois-ci autorisée et qui a réuni plus de 600 personnes venu de toute la France mais aussi de Suisse (JI Genève) et d'Angleterre (English Defense League).
On a pu entendre des discours de Philippe Vardon (porte-parole de Nissa Rebela et membre du bureau exécutif du Bloc identitaire), Fabrice Robert (président du Bloc identitaire), Arnaud Gouillon (candidat identitaire à la présidentielle 2012), Jean David Cattin (porte-parole du réseau Une Autre Jeunesse), Tommy Robinson (Responsable de l’English Defense League).
La journée s'est terminée dans une atmosphère bon enfant à La Traboule, le local des identitaires lyonnais.
Cédric
lundi 18 avril 2011
vendredi 15 avril 2011
Nouvelle affiche
Une nouvelle affiche, reprenant les 3 « idées forces » du candidat identitaire, accompagnera les déplacements d’Arnaud Gouillon à travers la France.
mercredi 13 avril 2011
jeudi 7 avril 2011
Aide occidentale ou néocolonialisme ?
Afganistan, Libye, Côte d'Ivoire...que de guerres qui ne nous concernent pas !
Ci-dessous un article de Richard Roudier membre du Bloc Identitaire et président de la Ligue du Midi :
Décidément la politique de la canonnière a la vie dure (*). Le Président américain William McKinley l’avait expérimentée au début de 1898 lorsqu’il envoya le navire de guerre Maine mouiller dans le port de La Havane. La mystérieuse explosion du navire déclencha la guerre contre l’Espagne, à Cuba et aux Philippines. De Bush – père et fils – à Obama en passant par Clinton, le chef d’orchestre a changé mais la politique est la même (Bosnie, Irak, Kosovo, Afghanistan, Libye…) et les duettistes de Paris et de Londres marchent à la baguette. Il n’y a guère que les bourgeois-benêts de Saint-Germain-des-Prés pour ne pas sentir l’odeur fétide de pétrole que traine derrière elle l’opération « Odyssey dawn ».Comme disait l’autre : « Au commencement de chaque guerre, il y a toujours un gros mensonge », et nous savons très bien que, si les Américains veulent aujourd’hui la chute de Kadhafi, c’est uniquement pour garder la main dans la grande partie de poker mondial en vue de l’appropriation des matières premières. Inutile de préciser que nous n’avions pas plus de sympathie, hier, pour Moubarak ou Ben Ali que nous n’en avons aujourd’hui pour le roi du Barhein, pour celui d’Arabie saoudite ou pour le sinistre Bouteflika. Mais les barbus enturbannés qui tirent des rafales de kalachnikov en vociférant « Allah akbar » dans les rues de Benghazi vont finir par me rendre le colonel sympathique ; car pour paraphraser Churchill, la France et l’Europe n’ont pas d’amis ou d’ennemis mais seulement des intérêts. Or aujourd’hui il est clair que le colonel Kadhafi est un rempart contre la submersion migratoire de l’Europe ; rappelons aux hypocrites – et ils sont nombreux dans la classe politique – qu’en 2007 le Tout-Paris se bousculait à la « petite sauterie » que le président Sarkozy avait organisée dans les jardins de l’Elysée en l’honneur du maître de Tripoli.
De l’opération « fontaines sanglantes » le 11 novembre 2010, visant à dénoncer la mort de 53 soldats français tombés en Afghanistan, à la protestation, la semaine dernière, devant le consulat de Libye à Paris contre les bombardements américains, le Bloc identitaire démontre, outre sa présence sur le terrain, qu’il n’a jamais varié de ligne. Il considère que la France n’a pas à jouer les supplétifs des Américains dont la stratégie est de réduire l’Europe à une simple zone de libre-échange. On se souvient qu’en 1999, les avions de l’US Air Force bombardaient Belgrade, une capitale européenne, faisant des milliers de morts…
Comme tous les apprentis dictateurs, Sarkozy recherche à l’extérieur les succès qu’il ne réussit pas à engranger en France. S’il veut jouer les matamores – aux deux sens du terme –, qu’il commence par assurer la sécurité dans nos quartiers et dans nos banlieues avant de vouloir jouer le justicier à l’étranger. Enfin, s’il veut entrer dans l’histoire, qu’il utilise son énergie à protéger les côtes italiennes avec la Marine française, car l’avenir de notre civilisation se joue en ce moment à Lampedusa et non à Benghazi.
samedi 2 avril 2011
Première action à Paris du Collectif Non à la guerre en Libye
Les participants, parmi lesquels le prince Sixte-Henri de Bourbon-Parme, venu en personne condamner l’intervention militaire française, ont ainsi écouté un discours leur rappelant :
- qu’à l’heure où la France pleure 54 de ses soldats tombés pour l’Oncle Sam dans les montagnes afghanes, Nicolas Sarkozy a engagé notre pays dans un conflit qui ne sert une fois de plus que les intérêts économico-stratégiques des USA, certainement plus appâtés par les riches réserves pétrolières de la Libye que par la pseudo-protection des civils, ou bien mus par le « soutien aux insurgés ».
- qu’à l’heure où l’Europe entière craint une vague d’immigration sans précédent, il est totalement suicidaire de bombarder ces zones sensibles et d’encourager ainsi une guerre civile qui aura pour conséquence directe d’inciter des millions de personnes à l’exil vers l’Europe et, disons-le clairement, vers la France.
- qu’aujourd’hui les Français craignent pour leur pouvoir d’achat et leur avenir, et n’ont pas envie de soutenir avec leurs impôts une guerre très coûteuse au service d’intérêts américains.
Les manifestants se sont dispersés dans le calme, après avoir allumé des fumigènes et repris quelques slogans, pour finalement déposer une gerbe de fleurs en soutien au peuple libyen qui souffre aujourd’hui dans toutes ses composantes.
Contact : nonalaguerreenlibye@hotmail.fr
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jeudi 24 mars 2011
Face aux risques du nucléaire, quelles réponses apporter?
Ingénieur en prévention des risques industriels et environnementaux, Arnaud Gouillon revient sur les conséquences de l’accident de Fukushima.
Face aux risques du nucléaire, quelles réponses apporter ?
Concernant l’accident en lui-même, nous voyons un certain nombre d’acteurs politiques tomber dans le sentimentalisme en demandant des mesures de restriction immédiates. Sentiments et politiques ne font jamais bon ménage. Une décision politique ne peut pas, ne doit pas se prendre impulsivement, mais au contraire être réfléchie, discutée, mesurée. On remarque que les décisions précipitées, fermes, définitives et irrévocables sont souvent des croyances issues d’une idéologie et non de la réalité. Le nucléaire n’est pas bon ni mauvais en soi. Le nucléaire serait même, aujourd’hui, moins dangereux que nombre de nos usines chimiques qui tuent bien plus de travailleurs (utilisation de produits cancérigènes-mutagènes-reprotoxiques, accidents du travail) ou de riverains (AZF) que nos centrales nucléaires. Pour autant la France n’est pas à l’abri de ce type d’accident et de source interne je peux affirmer que l’état de nos centrales se détériore. La recherche de profit et l’appel à la sous-traitance quasi systématique font augmenter le nombre d’incidents et diminuent fortement la sûreté nucléaire. Une centrale ne doit pas être une machine à fric, et la sous-traitance doit rester exceptionnelle.
Nous comprenons que politique, science et sociologie sont intimement liés. Nous devons regarder la question nucléaire d’un point de vue multi disciplinaire, sans tabou et sans politiquement correct.
Quelles vont-être maintenant les conséquences politiques de cet accident ? Faut-il, comme certains écologistes le souhaitent, sortir du nucléaire ?
Remplacer le nucléaire par les énergies carbone n’est pas une solution gagnante. De même, un simple calcul de rendement énergétique montre que les énergies renouvelables ne peuvent répondre à la demande sans cesse croissante en énergie. Il est donc mensonger de dire que nous pourrions continuer à vivre et consommer comme nous le faisons aujourd’hui après une sortie totale du nucléaire.
Pour limiter la fréquence des accidents, qui ne manquera pas de s’accélérer dans les prochaines années, et se préparer à la fin des énergies consommables nous devons dès maintenant organiser la décroissance énergétique à venir et retrouver ainsi notre équilibre.
Ingénieur en prévention des risques industriels et environnementaux
Candidat identitaire à l’élection présidentielle de 2012
dimanche 13 mars 2011
Une Autre Jeunesse !
mardi 22 février 2011
Huningue : Augmentation légère du taux d’imposition en vue
L’heure était au débat d’orientation budgétaire, jeudi soir, lors de la séance du conseil municipal de Huningue. Pour le maire, il faudra songer à augmenter « modestement » la pression fiscale.
L’adjoint aux finances communales, Denis Andolfatto, a fait en préambule le point sur quelques chiffres de la période 2006-2010 où l’on constate les augmentations, en section de fonctionnement, de l’ordre de 27,44 % pour les dépenses et de 14,88 % pour les recettes, alors que l’autofinancement est en baisse de 13,37 %.
Mais ce qui inquiète surtout les élus, c’est l’avenir. D’ailleurs l’adjoint a fait remarquer que l’on observe dès cette année « le fléchissement des recettes », premier effet de la réforme de la taxe professionnelle. Et ce dernier point est bien « le cœur de la discussion », comme le résume le maire, Jean-Marc Deichtmann. Car si « tout un bouquet de contributions compose la contribution économique territoriale [elle remplace la taxe professionnelle : N.D.L.R], l e total ne représente que 65 % de ce que représentait la TP. » Et le transfert « d’un peu plus de taxe d’habitation » vers les caisses des communes ne permet pas de compenser le manquer à gagner.
« Nous sommes complètement sous la coupe de ce que le gouvernement décide et décidera. Nous n’avons plus d’autonomie financière, constate encore le maire. Si 2011 paraît réglée, je me fais plus de souci pour 2012, et beaucoup plus pour 2013. Nous avons une véritable épée de Damoclès au-dessus de nous avec cette question : aurons-nous ces compensations ? »
Jean-Marc Deichtmann note encore que, jusqu’à présent, « on nous a laissé travailler et faire beaucoup de choses » mais rappelle que « ces investissements ont un coût d’entretien annuel. Qu’allons nous devoir faire pour maintenir ce niveau de service ? », s’interroge-t-il encore.
René Moebel s’est dit « effaré et scandalisé » par les décisions du gouvernement, alors que « nous allions vers une autonomie financière ». Il a aussi fait remarquer que « les contribuables sont assaillis de partout ». Bref, les élus devront résoudre l’équation de « faire plus avec moins », comme le résume le maire.
« Nous sommes engagés sur une voie avec très peu de marges. Les règles du jeu ont été changées en 2009 sans que nous soyons prévenus. À nous de nous adapter. Il faudra revoir très sérieusement nos méthodes de travail et réfléchir mieux aux dépenses », poursuit Jean-Marc Deichtmann. Plus concrètement, le maire a annoncé « qu’une réflexion est engagée avec comme axiome la baisse de 20 % de la part variable des dépenses de fonctionnement ». Cette part représente « entre 12 et 15 % des dépenses réelles du fonctionnement. L’économie sera d’environ 100 000 euros. »
Quant à la pression fiscale, Jean-Marc Deichtmann concède qu’on « ne peut jouer que sur les impôts des ménages », refusant ainsi comme certaines collectivités de matraquer les ménages avec des hausses de 30 %. Le maire constate même que le conseil pourrait décider de ne pas augmenter les taxes en 2011 puisque la base sera revalorisée de 2 %. « Mais égard à ce qui va se passer dans les années qui viennent, il nous faudra modestement augmenter notre pression fiscale. » Le maire avance un maximum de +1,5 % mais songe à fixer la chose à +1 %, ce qui représenterait 50 000 euros de recettes. Le conseil en décidera lors de la séance budgétaire en avril prochain, et très certainement encore dans le brouillard.
Source : L'Alsace
dimanche 20 février 2011
samedi 19 février 2011
I.D.E.A.L. : Identité Démocratie Ecologie Autonomie Localisme
Le second avantage c’est l’initiative populaire : une pétition déclenche, si elle atteint suffisamment de signatures, un référendum sur un sujet que le gouvernement et le parlement n’osent pas aborder ! En Suisse, l’immigration, la lutte contre la drogue, les OGM, la durée du travail sont des sujets fréquents.
L’écologie, la vraie ! Celle qu'on peut surnommer l'écologie humaine, s’intéresse à l’homme et à son territoire enraciné. Du point de vue de l’écologie humaine, il y a un rapport particulier entre nos paysages et notre civilisation, la civilisation européenne d’expression française ; nos sites et nos monuments sont des biens précieux qui font ce que nous sommes, qui sont parties intégrantes de notre identité ; nos forêts et nos landes, nos prairies et nos marais, nos torrents et nos rivières méritent d’être protégés des folies collectivistes, marchandes ou technicistes ; pour l’écologie humaine il faut lutter contre l’enlaidissement utilitaire et ne pas tout sacrifier au temps immédiat mais inscrire nos actions sur la terre de nos pères dans le temps immémorial.
L’écologie humaine, enracinée, identitaire et localiste est proche des peuples et des patries charnelles à la différence de l'écologie planétaire (ou écologie business) qui ne s'intéresse qu'à l'enlaidissement du monde avec ses éoliennes, ses capteurs solaires et sa remise en cause de nos règles traditionnelles de construction.
L'autonomie ou prendre son destin en main. Parce que nous savons trop bien que nous ne sommes plus protégés, et c’est bien parce que l’Etat a abandonné sa première mission qui est d’assurer la sécurité des citoyens que nous ne lui reconnaissons plus aucun droit sur nos vies. L’Etat ne nous défend plus ? Alors nous allons nous défendre nous-mêmes ! Autonomie, autogestion, autodéfense !
Le localisme, c’est la préférence pour la proximité qu’il faut opposer à l’idéologie mondialiste qui valorise le nomadisme. C'est la proximité territoriale, proximité de parenté, proximité culturelle notamment. C'est éviter aux gens de se perdre dans des bouchons pour aller travailler à plus de 20, 30, 50 km de chez-eux. C'est défendre le commerce de proximité, les PME, la paysannerie, le terroir ! Le localisme allie protection de l'environnement et hausse de l'économie.
jeudi 17 février 2011
Discours d'Arnaud Gouillon le 17 février 2010 concernant l'indépendance du Kosovo
mercredi 16 février 2011
Arnaud Gouillon déjà en campagne
Dans le cadre de son tour de France en vue des Présidentielles, Arnaud Gouillon, 25 ans, candidat du Bloc Identitaire, un parti fondé en 2003 sur « le réveil des identités » avec un sanglier gaulois en logo, a rencontré hier soir une centaine de sympathisants à Lampertheim.
Dans la journée, le candidat qui dit avoir déjà « un nombre significatif » de promesses de signatures de maires, était à Strasbourg. Accompagné de Jean-David Cattin, Suisse et membre du bureau exécutif du Bloc Identitaire, et de Jacques Cordonnier, président d’Alsace d’Abord qui soutient la candidature du jeune Grenoblois : « J’ai trouvé dans le Bloc Identitaire une structure qui défend nos vues » Arnaud Gouillon, ingénieur en prévention de risques industriels et environnementaux met en avant : « L’identité, la démocratie, le localisme. Pour maintenir le tissu économique de nos régions, il faut introduire la détaxation de proximité, un pourcentage suivant le nombre de kilomètres » Explication : « Si demain je crée un programme informatique, ça coûtera plus cher de le faire en Inde qu’en France » Autre exemple, « Ici à Strasbourg, une prune de Kehl sera moins chère qu’un abricot du Sud-Ouest ». Arnaud Gouillon veut « une Europe plus politique, plus puissante. Le siècle qui s’ouvre sera centré sur les civilisations, on le voit avec la Chine et le monde arabe » annonce-t-il. Rappelant qu’en Algérie, « l es prières dans la rue sont interdites », il refuse celles-ci en France tout comme la construction de lieux de culte musulmans : « Une mosquée est aussi un centre politique, une base de prosélytisme. La démocratie directe, comme la votation en Suisse, devrait pouvoir en France s’exprimer sur ce sujet ou celui des OGM. » Un discours auquel, dit-il, « les gens sont sensibles »
Source : DNA
lundi 17 janvier 2011
Immigration clandestine à Saint-Louis (Alsace)
Immigration clandestine : jusqu’à sept ans de prison
Source : Le Républicain Lorrain
samedi 1 janvier 2011
Faire un don aux Identitaires
Mais tout cela a un coût et demande des moyens financiers importants. C’est pourquoi vos dons seront toujours les bienvenus. En nous garantissant notre autonomie financière, ils nous permettront de poursuivre notre combat pour notre identité et notre liberté.
Les dons doivent êtres adressés à l’AFBI (Association de Financement du Bloc Identitaire).
Date de l’agrément de l’AFBI : 8 février 2010.
Les sommes collectées sont destinées au Bloc Identitaire.
Les dons consentis par des personnes physiques dûment identifiées ne peuvent annuellement excéder 7 500 Euros.
Tout don de plus de 150 Euros consenti à une association de financement ou à un mandataire financier d’un parti politique doit être versé, à titre définitif et sans contrepartie, soit par chèque, soit par virement, prélèvement automatique ou carte bancaire. Les paiements en espèce n’ouvrent pas droit à avantage fiscal.
Les personnes morales à l’exception des partis ou groupements politiques ne peuvent contribuer au financement des partis ou groupements politiques.
Pour nous aider, vous pouvez :
1. Don par chèque
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2. Don en ligne par carte
Cliquez ici pour faire un don en ligne par carte bancaire (paiement sécurisé)
Fabrice Robert, Président du Bloc Identitaire
Marié, père de 3 enfants.
Engagé politiquement depuis l’âge de 16 ans, Fabrice Robert a été notamment conseiller municipal de La Courneuve (93).
Il dirige le Bloc identitaire créé en avril 2003 lors des Assises identitaires de Mâcon. Le Bloc identitaire est un mouvement politique prônant l’action en réseau et qui réunit ceux pour qui la préservation de nos identités historiques et charnelles (local, national, civilisationnel) est une priorité.
Par la ligne politique défendue et les méthodes d’action novatrices, le Bloc identitaire est aujourd’hui l’un des fers de lance, en France mais aussi en Europe, d’une nouvelle sensibilité politique : le courant identitaire
Très attaché au combat culturel, Fabrice Robert est aussi à l’origine de l’agence de presse en ligne Novopress.info, de la revue ID Magazine et du label Alternative-s.